Lettre d'information d'N°08

C'est avec grand plaisir que nous vous faisons parvenir cette lettre d'information qui devrait compléter régulièrement et avantageusement l'ensemble de nos magazines : AQUAmag, Bassins de Jardin, Oiseaux Passion, Reptilmag et ZebrasO'mag.

Le numéro en cours

http://www.animalia-editions.com/aquamag/943-aquamag-n30.html

Déjà 30 numéros d’AQUAmag, ça se fête !

Pour célébrer les 30 numéros, soit 30 trimestres (donc 7 ans et demi), AQUAmag vous propose une petite rétrospective du magazine n°… 30, évidemment ! En attendant les dix ans, à fêter en décembre 2018.

Un poisson qui a du chien : l’oscar (Astronotus spp.)

Ivan Mikolji nous propose un reportage sur les Astronotus cf. ocellatus dans les eaux vénézueliennes. C’est l’occasion de découvrir un peu mieux ces Cichlidés au comportement fascinant, cette fois dans leur milieu naturel. Il nous fait part de ses observations et nous révèle un mode de vie qui peut se révéler surprenant.

Les oscars présentent la particularité d’avoir une véritable personnalité (ce n’est pas pour rien qu’ils ont hérité d’un véritable prénom, Oscar, comme on baptiserait un chat ou un chien !) et de faire preuve d’une certaine intelligence. Relative, diront certains, mais elle a de quoi susciter un engouement qui ne se dément pas. Il est d’ailleurs facile d’apprivoiser ce Cichlidé qui n’hésitera pas à venir manger dans la main de son soigneur et même à se faire caresser.

Le seul défaut des Astronotus spp. est sans doute leur taille : une trentaine de cm une fois adultes. Ce sont également de gros mangeurs, capables d’avaler des petits poissons en une bouchée, et de gros pollueurs qui nécessitent une filtration puissante et un volume d’eau significatif. 300 à 500 litres (volume réel) sont un strict minimum pour héberger un couple ou un groupe de ces Cichlidés. Car comme toute espèce sociable, l’oscar a besoin de compagnie. Il est donc recommandé de pouvoir accueillir au moins 2 spécimens, voire plus selon les dimensions de l’aquarium.

En savoir + sur votre magazine AQUAmag

Le numéro en cours

http://www.animalia-editions.com/zebraso-mag/938-zebraso-mag-n36.html

Edito

Destination touristique très prisée, l’archipel d’Hawaï inspire aussi des projets presque utopiques pour les aquariophiles récifaux. Les poissons endémiques, parfois rares, y évoluent dans des paysages sous-marins typiques de l’océan Pacifique. Ce numéro de ZebrasO’mag vous propose une sorte de grand écart entre le gigantisme professionnel de l’Aquarium de Waikiki, un leader mondial incontesté et visité de fond en combles dans Aquacoulisses, et une proposition de réalisation abordable, détaillée dans Carnet de plongée. Celles et ceux que quelques centaines de litres ne sauraient contenter pourront toujours emprunter des idées pratiques à notre Exemple à suivre, placé tout en haut de l’échelle de ce que réalisent les particuliers experts.

Le volet technique de ce ZebrasO’mag ménage une place de choix à l’eau de mer, en tant que solution minérale complexe, et à la supplémentation, qui vise à maintenir son intégrité à long terme : Retour aux sources récapitule les connaissances sur les sels synthétiques, Bocal récifal et Produit marin abordent les aspects pratiques de la supplémentation minérale, et Tendance met en lumière la supplémentation probiotique, qui est probablement l’innovation récente la plus notable concernant le traitement de l’eau des aquariums. Et comme l’aquariophile, tout humain qu’il est, n’est qu’un modeste imitateur des processus réalisés spontanément sur les récifs coralliens, Science appliquée propose une perspective décalée sur un équivalent naturel de la supplémentation. Cette vision presque anticonformiste anime aussi la rubrique Resto&Véto, qui explore la maintenance des poissons et crevettes déparasiteurs dans l’optique d’améliorer l’hygiène de leurs hôtes.

Le volet vivant s’intéresse aussi à des animaux devenus originaux dans les aquariums marins, non qu’ils pâtissent d’une rareté particulière mais plutôt d’un décalage de leur profil avec la mode aquariophile : aussi bien les rascasses que les Sinularia spp. mériteraient bien plus d’attention. D’ailleurs, ce message ne détonerait pas de la part de notre invité dans Paroles d’expert, un détaillant qui semble avoir trouvé un équilibre vertueux entre le succès de son commerce et sa passion, exclusivement marine.

Nouveaux aquariums Red Sea Max série E

La société Red Sea est reconnue pour son innovation technologique et sa réactivité en phase avec les nouvelles pratiques des aquariophiles. Dès à présent, Red Sea fait évoluer la gamme de ses aquariums Max en proposant une nouvelle déclinaison : Max série E.

Après les premiers Max nés en 2007 qui ont permis à Red Sea d’inaugurer le segment des aquariums récifaux « plug and play », est arrivé la gamme des Max série S, qui offre alors une solution complète haut de gamme, puis les Max C qui renouvelaient les Max 130 et 250 initiaux. Aujourd’hui arrive, les Max série E, une solution intermédiaire à un coût raisonnable, avec un équipement haut de gamme, bien pensé et particulièrement évolutif. À noter : les modules à LED à réseau Wi-Fi intégré qui équipent cette nouvelle gamme et sont le résultat de deux années de mesures en conditions réelles d’exploitation. Nous vous invitons à relire la rubrique Parole d’expert de ZebrasO’mag N°33 avec Sharon Ram, l’âme technique de Red Sea qui dévoilait alors quelques-uns de ses secrets, dont son approche des LED :
www.animalia-editions.com/zebraso-mag/877-zebraso-mag-n33.html

Les aquariums Max série E sont équipés d’une décantation arrière, mais il est possible d’ajouter à posteriori une cuve annexe dans le meuble grâce à un système de surverse déjà anticipé dans la cuve principale. Les configurations Max série E se déclinent en deux volumes : le E 170 (pour 170 litres) et le E 260 (pour 260 litres).

Pour en apprendre beaucoup plus, nous vous invitons à consulter :
www.redseafish.com/fr/aquarium-systems/max-aquarium-systems/max-e-series/

ATTENTION, le prochain ZebrasO'mag sera disponible début mai prochain !

En savoir + sur votre magazine ZebrasO'mag.

Le numéro en cours

http://www.animalia-editions.com/oiseaux-passion/947-oiseaux-passion-n29.html

Chers lecteurs d’Oiseaux Passion,

C’est avec une certaine émotion qu’Animalia édition a pris la difficile décision d’arrêter de publier votre magazine Oiseaux Passion sous sa forme actuelle. Malgré les efforts, l’équilibre financier de ce projet n’est pas au rendez-vous, et il est difficilement possible pour une entreprise de prolonger cette situation. Malgré la fidélité de son lectorat et les efforts (pour ne pas dire « sacrifices ») de l’équipe éditoriale, Oiseaux Passion mérite financièrement mieux que ce qu’il connaît aujourd’hui.

Depuis le début de sa création, Oiseaux Passion a dû résister à une concurrence directe et particulièrement peu loyale, prête à tous les dénigrements alors même qu’Oiseaux Passion était un projet d’entreprise payant salaires, droits d’auteur, charges et impôts, en tout transparence. Un projet d’entreprise donc, alors même que certaines activités associatives – tout à fait honorables sur le fond – réalisent des projets concurrentiels dans des conditions économiques scandaleusement inégales à celles des entreprises : pas ou peu de salaires, pas de charges liées, pas d’impôts. Cette adversité économique était connue dès le début, certes, mais elle s’est combinée à de véritables assauts de dénigrement qui ont impacté la capacité d’Animalia éditions à améliorer le financement d’Oiseaux Passion. Il s’agit d’ailleurs du second aspect des difficultés rencontrées par le magazine.

Depuis la crise de la grippe aviaire qui a eu lieu il y a une dizaine d’années, et les restrictions imposées par les autorités, en particulier dans les points de vente d’oiseaux (magasins), la vente d’oiseaux s’est déportée sur le marché parallèle des particuliers, petites annonces, bourses de vente. Vous nous direz : quel rapport avec un magazine ? La réalité est que ce marché sous-terrain a emmené avec lui quelques fabricants d’aliment et de matériel, potentiels annonceurs publicitaires, préférant subventionner à moindre coût ces formes de dérives, concurrence peu loyale à laquelle nous faisions référence précédemment. Il nous est apparu assez rapidement que le modèle économique construit, d’une part grâce à un lectorat fidèle et d’autre part grâce à des annonceurs commerciaux solides, n’était pas possible. Il manquait un des deux piliers, après celui du lectorat, qui pouvait garantir la capacité à subvenir aux nombreux aspects financiers que représente un projet éditorial PROFESSIONNEL ! Animalia éditions a souhaité continuer jusqu’à la dernière limite, par respect pour les lecteurs et les auteurs, alors que la rentabilité était quasi nulle. Mais aujourd’hui cette limite est atteinte et Oiseaux Passion doit s’arrêter paisiblement.

L’avenir

Malgré cette situation, la marque « Oiseaux Passion » continue d’exister et va étoffer sa collection de « Guides » et ouvrir au moins une nouvelle autre collection dans un proche avenir. Animalia éditions aura l’occasion de vous en informer personnellement d’ici peu.

Animalia éditions a malgré tout forgé des relations commerciales solides (même si elles restent insuffisantes) avec quelques partenaires qui méritent une attention particulière : QualityBird, Hagen France, La Ferme de Beaumont. Animalia éditions et Oiseaux Passion souhaitent aussi remercier, Jacqueline et Gabriel Prin qui ont toujours été d’un professionnalisme exemplaire et d’une disponibilité à toute épreuve, Jean-Marc Gimenez, Jean-Claude Périquet, Régis Cavignaux, fidèles auteurs passionnés et passionnants. Nous retrouverons certainement ces auteurs dans les collections de livres Oiseaux Passion.

Pour en savoir + sur votre magazine Oiseaux Passion

Le numéro en cours

http://www.animalia-editions.com/bassins-de-jardin/946-bassins-de-jardin-n18.html

Voilà maintenant 4 ans que vous retrouvez tous les trimestres Bassins de Jardin.
Ce numéro fait le point sur le nettoyage et le rempotage du bassin. Cela peut encore être le moment pour préparer la belle saison qui arrive à grands pas.

Le printemps, c’est aussi l’acquisition de nouveaux poissons ou encore du premier bassin que l’on souhaite enfin installer dans le jardin, après des mois ou des années de mûre réflexion. L’occasion est donc rêvée pour refaire un point sur certains aspects, tels que l’achat des animaux (car un poisson malade peut se révéler un désastre dans un bassin déj à peuplé) ou encore la mise en route d’un stérilisateur U.V.

Les carpes koïs en bassin

Photo : Aqua Press – Tous droits réservés

Évidemment, quand on pense poissons de bassin, on peut penser à « carpes koïs ». Ces poissons de grande taille ne sont toutefois pas adaptés à toutes les pièces d’eau. Et il est certain qu’au moment où les propriétaires de bassin vont passer de plus en plus de temps à l’extérieur, avec la belle saison qui arrive et les jours qui rallongent, l’envie d’acquérir ces carpes mythiques du Japon peut se faire de plus en plus pressante.

Toutefois, mieux vaut en savoir plus avant d’introduire des koïs dans le bassin. Par exemple, il est totalement illusoire d’espérer conserver ces carpes de couleurs (Cyprinus carpio var.) dans un volume inférieur à 1000 litres, soit 1m3.

Ajoutons qu’il faut également faire preuve de patience avant d’acheter les premiers poissons. On doit attendre que les températures soient définitivement positives (phénomène variable selon les régions) pour les acclimater. Et cela doit bien évidemment être fait en douceur.

Pour en savoir plus sur les premiers koïs chez soit, vous pouvez consulter le lien suivant qui vous donnera quelques conseils :http://www.bassinsdejardin.fr/2016/03/des-kois-dans-le-bassin.html

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Le numéro en cours

http://www.animalia-editions.com/reptilmag/937-reptilmag-n63.html

Le génome de Pantherophis guttatus decrypté, le gène de l’amélanisme découvert

A l’heure actuelle, peu de reptiles non aviens ont vu leur génome décrypté. Anolis carolinensis a été le premier en 2011. Mais les recherches se sont accélérées, et c’est le tour de la star des terrariums : Pantherophis guttatus. La facilité de son élevage, le fait qu’elle ne soit ni venimeuse, ni de grande taille, ni agressive mais aussi la variété de mutations sélectionnées par les éleveurs en font un sujet d‘étude idéal pour mieux comprendre les variations de coloration. L’équipe d’Asier Ullate-Agote de l’université de Genève (Suisse) a donc pu décrypter 75% du génome de cette couleuvre à partir de 78 spécimens tous issus d’un mâle de forme sauvage et d’une femelle amélanique hétérozygote, la « gutt albinos » bien connue des terrariophiles, l’amélanisme étant une des formes de l’albinisme où il n’y a plus de production de mélanine, le pigment noir. L’étude publiée en 2014 a ... suite, commandez :
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